Lorsque les affections physiques et psychiques apparaissent, elles traduisent les déséquilibres énergétiques du terrain.
Le remède homéopathique, unique, compense les déséquilibres du terrain en donnant à l’individu l’énergie qui lui est semblable. Un remède semblable se définit ainsi : toute substance capable de produire des symptômes chez un individu sain est capable de guérir un individu malade présentant les mêmes symptômes.
Le médecin homéopathe uniciste prescrira un seul remède, parmi plus de 2 000 remèdes, issus des règnes végétaux, animaux, minéraux. Pour le trouver, l’homéopathe uniciste a besoin, avant toute chose, de la participation active du patient qui collecte ses symptômes en déterminant ce qui est le plus frappant, personnel, original, caractéristique.
À l’écoute de son patient, le médecin homéopathe intègre les fruits de l’interrogatoire et les signes de l’auscultation aux connaissances accumulées par les praticiens depuis plus de 200 ans et renouvelées de façon permanente par de fertiles recherches réalisées à travers le monde entier.
Christian Friedrich Samuel Hahnemann médecin qui, à l’occasion de la parution d’un article en allemand, inventa l’homéopathie, en 1796. (né le 10 avril 1755 à Meissen, Saxe, Allemagne – mort le 2 juillet 1843 à Paris)